
ESU: du « poto-poto » créé aux services centraux par le duo Ndibu et Mbembe !
Qui sauvera les services centraux de l’enseignement supérieur et universitaire? Cette question mérite son pesant d’or au regard de l’imbroglio qui a élu domicile par la faute du secrétaire général Ndibu et son bras seculier le directeur des services généraux, le trop controversé Mbembe.
Les informations qui nous parviennent des services centraux de l’Esu ne sont pas du tout bonnes. A en croire nos sources, l’administration centrale de l’enseignement supérieur et universitaire souffre d’une décadence structurelle à nulle autre pareille ailleurs. En effet, après plusieurs dénonciations des antivaleurs, des clientelismes, tribalisme, fanatisme, mensonge voir détournements à grande échelle doublé de l’injustice, l’impudicité et l’égoïsme, mais les agents observent avec consternation l’indifférence totale des décideurs.
On rappelle à cet effet qu’en date de 11 mars 2022, la commission collective no 001/MINESU/CAB/ et affectation aux emplois de commandement de quelques agents des carrières des services publics de l’État du secrétariat général de l’Esu est porteuse de complaisance, d’incompétence inouïe, d’un état d’âme sulfureux et d’incarnation du mal. On accuse cette commission entre autre de ne pas respecter les normes de l’administration publique. D’où, il y a des décédés qui apparaissent dans la commission et les autres promis aux grades supérieurs, quelques agents actifs sont balayés de la commission sans cause valable. Aussi, des anciens et cadres universitaires sont bloqués aux mêmes grades pendant plus de 23 ans; des attachés de deuxième classe sont promus aux grades de chef de division;
des fanatiques des autorités montent des grades à l’absence de prescrit de l’administration publique. Car, il est dit après trois ans l’agent peut monter de grade.
Dans le cas précis, la périodicité n’est pas de stricte observance.
Dans cette longue liste des griefs retenus à charge du secrétaire général et son alter ego directeur des services centraux, il y a aussi les règlements des comptes pour faire taire des combattants des anti-valeurs.
En un mot comme en mille, la commission d’affection du 11 mars 2022 est une prime donnée aux agents oscillants de l’administration publique de l’Esu. Et, cette façon de faire est un moyen ambigu de pastoriser le pouvoir.
Le président du comité de base/UNTC des Services centraux/Esu avait écrit à l’Igf pour qu’elle descende aux services centraux de l’Esu depuis le 14 septembre 2020 pour un éventuel contrôle de gestion. Cette mise en place permettra aux gestionnaires des Services centraux de l’Esu de continuer à détourner l’argent laissé par le secrétaire général sortant, éparpillés à travers les différents sous comptes. D’où, la nécessité de freiner l’élan des combattants des anti-valeurs. L’implication de la justice est une impérieuse nécessité. Car, l’administration centrale de l’Esu se tend vers son extinction. Nous y reviendrons
Danny Musangu