
PNHF: silence, le directeur Dédé Ndungi-Ndungi travaille !
Des flèches empoisonnées sont decochées ces derniers temps par une certaine presse en quête du sensationnel et du perdiem, contre le directeur national du Programme national de l’hygiène aux frontières (PNHF) alors que le climat de la paix sociale et du concorde souffle au sein de ce programme stratégique du ministère de la santé.
D’après une mini- enquête réalisée par nos fins limiers au Kongo central tout comme à Kinshasa voir au cabinet du ministre de la santé, tout porte à croire que c’est la gestion orthodoxe de ce médecin qui dérange.
De prime à bord, les conclusions de nos investigations renseignent que Dédé Ndungi-Ndungi est le meilleur directeur que le PNHF n’a jamais connu. Tenez. Avant son arrivée, les agents percevaient une modique prime mensuelle appelée DDVR ou 4D allant de CDF 35.000 (17$) à CDF 50.000 (25$).
En deux ans d’une gestion saine et rigoureuse, cette prime est passée à Usd 100 pour l’agent le moins payé et à Usd 200 pour l’autre catégorie. Cette révélation, nous l’avons eue auprès d’un conseiller au ministère de la santé qui s’est confié à nous sous le sceau de l’anonymat.
Parler aujourd’hui du détournement au PNHF, c’est du pur mensonge assorti de colportage des pourfendeurs du directeur Dédé Ndungi-Ndungi dont l’épicentre n’est autre que l’un des anciens directeurs de ce programme passé comme maître chanteur alors qu’il avait été chassé aux commandes de ce programme comme un pestiféré à cause de détournement avéré et surtout son immoralité légendaire doublé de l’incompétence notoire et sans vision aucune. D’ailleurs les agents étaient prêts à en finir avec lui en fermant toutes les portes du programme via une grave généralisée.
Agitation inutile
Selon l’enquête menée par notre correspondant au Kongo central par rapport aux statistiques de la DGDA et de l’OCC, les recettes réalisées sont à dix fois moins que les montants déclarés par cette presse à sensation inutile. Tous les témoignages recueillis plaident en faveur du directeur Dédé Ndungi-Ndungi. Que les pourfendeurs de ce digne fils du pays qui a une vision de conduire à bon port ce programme aillent paître ailleurs.
Pour rappel, la taxe DDVR a été appliquée grâce aux efforts fournis par le ministre honoraire de la santé Eteni Longondo qui avait défendu bec et ongles l’institution de cette taxe au conseil des ministres dirigé par l’ancien premier ministre Sylvestre Ilunga Ilukamba. C’est ainsi qu’un arrêté interministériel finances-santé avait été signé. Cette taxe est payée directement à la banque pour le compte du trésor via la DGRAD par les assujettis et non entre les mains de Dédé Ndungi-Ndungi.
Le bon compte de Dédé Ndungi-Ndungi
Depuis son arrivée au PNHF, le directeur Dédé Ndungi-Ndungi ne fait que marquer des points. Mis à part la majoration du prime DDVR dont l’ensemble des agents et cadres avaient applaudi frénétiquement le geste, la direction nationale se métamorphose du jour au jour. On y voit l’amélioration des conditions de travail par la climatisation des bureaux et l’équipement en outil informatique de tous les services et les bureaux équipés en meubles. La salle de réunion a été relookée au standard international où on peut y tenir même un conseil des ministres, ironise notre source pour dire qu’un bon travail est entrain d’être réalisé en douceur sans tambour ni trommette par ce commis de l’État. Grâce au management avéré de ce compatriote, le PNHF compte à ce jour plus de dix jeeps et plusieurs ambulances à travers les postes frontières de la République. Ajouter à cela, l’installation des caméras thermiques dans tous les aéroports internationaux du pays. Tous ces prouesses ne peuvent que donner de l’insomnie à ses pourfendeurs.
Tous nos efforts d’entrer en contact avec le directeur national du PNHF sont restés vains.
Antoine Botshili